Voici une illustration d’une des salles de la mémoire de la cité-mine du Rakdur. On y trouve livres, parchemins, ainsi qu’un nombre incalculable de tablettes d’argile et de pierre où est consignée la mémoire du petit peuple.
Cette image est extraite du roman illustré « Le droit à l’oubli« , dont voici un court extrait :
Elle ne put s’empêcher de demander aux maîtres-archivistes pourquoi ils utilisaient l’argile et la pierre. Les nains avaient éclaté de rire à cette question.
— Mais parce que l’argile et la pierre sont immortelles ! répondirent-ils à l’unisson. Le temps pourra faire son œuvre, elles seront toujours là. Nul insecte ne les consommera et le feu ne les consumera pas. Nos textes ne disparaîtront pas en cas d’inondation car il n’y a pas d’encre.